médicaments, pesticides, insecticides, psychotropes, armes chimiques, poisons, colorants, vaccins, toxiques…souvent dérivés des mêmes molécules ! :: »nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. »
En 1995, les prémisses de ce qui est aujourd'hui largement qualifié d'épidémie d'autisme, se sont clairement fait sentir. Il est par ailleurs devenu de plus en plus évident qu'un grand nombre d'enfants progressaient de manière remarquable grâce à des traitements non-médicamenteux, des traitements relevant généralement de ce qu'il est convenu d'appeler les « médecines douces », et que je préfèrerais pour ma part appeler « médecines intelligentes »
"L'autisme est un terme psychiatrique," at-il dit. «Je considère 'encéphalopathie toxique' comme une meilleure description, car il implique qu'il y a quelque chose que nous pouvons faire si nous détoxifier les individus."
les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l’autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu’elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l’alimentation, l’air, l’eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu’au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons).
est l‘action d’un poison (ou substance neurotoxique) sur le système nerveux. Il peut s’agir d’éléments chimiques comme les métaux lourds, de composés chimiques ou de substances biologiques comme les neurotoxines. Une substance neurotoxique agit habituellement en perturbant ou en paralysant l’influx nerveux, en agissant notamment sur les émetteurs ou les récepteurs synaptiques.
Qui sont les responsable ? D’une part les industries chmiques et pharmaceutiques. D’autre part l’Etat, qui ne régule rien. Ajoutons-y les médias, dont l’écrasante majorité ne fait pas son boulot. Industries et Etat se renvoyant la responsabilité, comme d’habitude. Il faut ajouter à cette petite description la caractéristique majeure de ce problème, qui est l’appât du gain. Tous ces malades vont constituer un marché gigantesque. Si l’on prévient l’apparition des maladies, on prive de bénéfices futurs les vendeurs de produits (toxiques qui créent les problèmes) ET les labos pharmaceutiques qui prétendent les soigner.
L’exposition des femmes enceintes aux pesticides accroît de le risque d’autisme chez l’enfant, révèle cette étude du Mind Institute de l’Université de Californie, qui confirme ainsi un lien direct entre l’autisme et l’exposition prénatale à certaines substances chimiques. Organophosphates, pyréthroïdes et carbamates sont ici clairement mis en cause
C’est une maladie extrêmement hétérogène qui peut être générée par plusieurs choses. La génétique joue pour 10 à 15 %, pour le reste ce sont des facteurs environnementaux. Le contact de la mère avec des produits tels que le mercure, les pesticides, les métaux lourds, mais aussi la radiation, une grippe sévère pendant la grossesse, un père ou une mère âgés, il y a un tas d’éléments qui peuvent rentrer en ligne de compte. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas le profil psychologique de la mère qui est en cause, mais des facteurs biologiques.
a-t-il dit notant le caractère "multifactoriel" de ce syndrome des troubles de la communication.C'est "une véritable épidémie que les facteurs de prédisposition génétique ne peuvent à eux seuls expliquer". Pour lui, il est donc "logique de s'intéresser à des facteurs environnementaux nouveaux". En particulier, aux pesticides, a-t-il poursuivi en évoquant aussi une exposition accrue aux "radiations électromagnétiques non ionisantes".
Il existe aujourd’hui plus de 80 000 produits chimiques en production, et seule une toute petite fraction a été testée pour vérifier de possibles effets neurotoxiques. À ce jour, on reconnait qu’environ 500 produits sont toxiques pour le système nerveux. Parmi ceux-ci, mentionnons certains métaux (plomb, mercure), des pesticides (organophosphorés, organochlorés), des solvants (trichloréthylène), et des molécules organiques complexes (BPC).
Selon le professeur Richard Deth, « Perpétuer le mythe de l’autisme comme étant un trouble génétique est un mauvais service rendu à tous ceux qui pourraient bénéficier d’un traitement. Perpétuer ce mythe contribue également à détourner l’attention des causes qui ne sont pas génétiques. »
Les effets toxiques des produits chimiques, dont des pesticides et des solvants, sur le développement du cerveau du foetus et de petit enfant sont en général négligés alors qu'ils pourraient avoir induit des troubles neurologiques chez des millions d'enfants dans le monde, selon des spécialistes de santé publique. La toxicité de ces produits sur le cerveau du foetus intervient à des doses bien inférieures que pour l'adulte, notent-ils dans un article mis en ligne mercredi par la revue médicale britannique The Lancet.
Les encéphalopathies médicamenteuses sont une préoccupation fréquente dans les services de médecine, et ce d’autant plus que le patient est traité par de nombreux médicaments, présente une pathologie cérébrale sous-jacente ou une autre cause d’encéphalopathie associée. Les molécules les plus fréquemment en cause sont les anti-infectieux, les morphiniques, les anti-épileptiques et les molécules de chimiothérapie. La présentation clinique est variable pouvant aller de troubles du comportement au coma. La présence de myoclonies, notamment sous forme d’un asterixis (myoclonies négatives distales) est très évocatrice dans le contexte.
Les deux troubles partagent de nombreux symptômes communs. C'est pourquoi il n'est pas inhabituel pour une condition d'être confondu avec l'autre dans les premiers stades.
Ils sont zombifiés par anti psychotiques médicaments, leurs humeurs améliorés avec des antidépresseurs pour les rendre plus faciles à gérer et à fournir aux bénéfices pharma.
74 % des autistes se sont maintenant sur ce drogues Voir le post sur lescandale Risperidol.
Son approche se fonde sur son expérience vécue, ses travaux de recherche neuroscientifique et la formation de parents depuis plus de 15 ans.
S’inscrivant dans un arrière-plan de convictions fortes, ses ateliers et programmes de travail proposés aux parents se veulent concrets et spécifiques à l’enfant et à son stade d’évolution
Elle a publié un livre chez Odile Jacob, « Vaincre l’autisme ».
Voici un résumé de la situation vécue par la majorité des parents : Le développement de leur enfant était normal pendant la première année ou les deux premières années de sa vie, et soudainement, du jour au lendemain, l’enfant a perdu ses facultés de langage, de jeux et de communication. Il ne fait plus rien par lui même et ne reconnaît plus ses parents.
Mais pourquoi son fils est-il tombé malade ? Senta Depuydt cherche, se documente, lit, enquête. De cette somme de données amassées, elle met en avant une possible intoxication au mercure, qui aurait mis le feu aux poudres d’un terrain immunitaire déjà probablement fragilisé chez son fils. Alors qu’elle l’allaite, elle se fait en effet poser six amalgames dentaires en ‘plomb’, en fait composés de mercure, un métal puissamment neurotoxique… « Avant, dans l’autisme, on incriminait les mères. Maintenant, c’est la génétique. Mais au moins faudrait-il parler d’épigénétique, dans ce cas », s’indigne-t-elle
non prouvés mais probables agissant sans doute comme du « poison » sur le cerveau chez ces enfants qui ont sans doute une fragilité génétique, d’où le dysfonctionnement cérébral, par exemple :
– les antibiotiques donnés avant 8 mois
– les vaccins avant 1 an (ROR notamment) porteurs de métaux lourds qui passent de l’intestin perméable au cerveau par le sang.
– l’intolérance au gluten et à la caséine,
(la plupart des autistes en souffriraient)
aggrave les difficultés de concentration et d’éveil.
document, [PDF] qui compte plus de 1000 pages, provient de GlaxoSmithKline frauduleux et corrompu . Plusieurs centaines de pages, il est révélé que les vaccins sont liés à l'autisme. Il est décrit de façon flagrante dans un tableau, avec une longue liste d'autres conditions causées par les vaccins, y compris "retard de développement moteur", "tremblement" et "état de conscience altéré". L'autisme est répertorié dans ce tableau comme étant un trouble du système nerveux et de la déficience mentale associé à l'administration du vaccin Infanrix hexa de GSK
Sur Twitter en 2014 il avait écrit que «de jeunes enfants en bonne santé vont chez le médecin, reçoivent des doses massives de multiples vaccins, ne se sentent pas bien et changent» pour devenir "autistes». «Il y a de nombreux cas comme cela»
Les vaccins sont responsables de l’épidémie d’autisme. Comment cela se déroule exactement est soumis à nombreuses discussions dans la communauté de sécurité des vaccins. Encore une fois, les négationnistes prétendent que les blessures n’arrive jamais. Mais beaucoup trop de parents, familles et un nombre croissant de journalistes indépendants et professionnels de la santé connaissent la vérité. Vaccins non testés et dangereux lorsqu’ils sont administrés individuellement ou en combinaisons
39-45 doses de vaccin au moment où vous êtes 6 ans. Et maintenant ajouter la récente in utero tourné pour le fœtus, le vaccin contre la grippe par le mercure. L’épidémie du TDAH, TDA, TOC, bipolaire, l’autisme, l’encéphalite, la narcolepsie est due à la quantité excessive de vaccins qui sont forcées sur les enfants par notre gouvernement afin d’entrer dans l’école. Pour compenser ou d’atténuer les effets de la lésion vaccinale, mal nomered comme « maladie mentale » psyché médicaments sont donnés comme des bonbons. 25% de tous les enfants américains sont sur ​​les médicaments psyché.Et maintenant, la Coalition nationale des femmes organisées découvrir l’un des péchés les plus graves Pharma dans l’histoire de la psyché moderne. L’information qui aurait permis d’éviter les fusillades dans les écoles, les homicides, les overdoses, l’épidémie bizarre de malades mentaux dans les dernières années a été disponible pour vers 15 ans, depuis la cartographie génétique. Cytochrome P450 2D6 est la voie la plus importante du métabolisme qui détoxifie 50% de tous les médicaments et les drogues illicitespsyché.7-10% des Caucasiens, par exemple, sont pauvres ou non-métaboliseurs en raison d’une suppression ou d’une activité non de la voie 2D6. Il ya un pourcentage d’Asiatiques et les Américains Afrikan qui sont des métaboliseurs lents.Lorsque certains médicaments (liste ci-dessous) sont donnés à ces données démographiques, en raison de leur incapacité à les métaboliser, ces personnes deviennent psychotiques, homicide, suicide, un danger pour eux-mêmes et de la société. Il ya d’autres voies sur le cytochrome P459 3A4 comme Cyt impliqués dans les rapports psychose de soldats sur Larium, un médicament contre le paludisme. Un autre exemple: la marijuana (cannibales) est un puissant inhibiteur du cytochrome P450 isoenzymes 3A4, 2C19, 2D6 et. Il s’agit d’une variation génétique, c’est tout.. Ethiopiens et qu’Afrikains traditionnel tanzanien qui ont eu des sols pauvres pour cultiver des aliments ont été consommant beaucoup de mauvaises herbes (adventices médecine), ils ont évolué à multiplier leurs 2D6 du cytochrome. Ces gens sont des «métaboliseurs rapides». Il s’agit d’un test très simple: Swap de la bouche, des dents et des gencives avec 2 compresses stériles (ressemble q-tips) et l’envoyer à notre contact laboratoire en Australie.
immédiatement après l’introduction du vaccin MBR (rougeole, oreillons, rubéole) en 1988 a augmenté le nombre de l’autisme il y des cas de moins de 1/2500 et 1/800 ; suite à 1/500 en 1990-1991 juste après l’introduction de la DKT précoce (diphtérie, coqueluche tétanos) vaccination ; à 1/345 en 1993 après l’ajout du vaccin Hib en octobre 1992 ; et récemment à 1/64, après l’extension du programme de vaccination
et revus par des pairs, Jeff Prager peut confirmer que les vaccins provoquent l’autisme, le déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, le syndrome inflammatoire auto-immun induit par les adjuvants, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique, le lymphome non-hodgkinien, la maladie de Crohn, et près de 100 autres maladies.
En juin 2000, un groupe de scientifiques officiels de haut niveau se sont réunis au Centre de Conférence de Simpsonwood à Norcross (Georgie, USA), convoqués par le Center for Disease Control and Prevention (CDC) (Centre de Contrôle des Maladies et Prévention). Cette rencontre a eu lieu dans le plus grand secret. Il n’y a pas eu d’annonce publique, les 52 personnes ont été conviées sur invitations privées. Il y avait des officiels de haut niveau du CDC, de la FDA (Food and Drug Administration), des spécialistes de la vaccination de l’OMS de Genève et des représentants des plus grandes firmes de fabrication de vaccins incluant Glaxo SmithKline, Merck, Wyeth et Aventis Pasteur. Tous les documents ont été déclarés confidentiels, aucune photocopie n’a pu être faite et aucun papier n’a pu être pris lorsqu’ils sont partis. La discussion principale a été centrée sur l’étude de Tom Verstraeten, un épidémiologiste du CDC qui a analysé les bases médicales de données de l’agence de 100 000 enfants et nourrissons, vaccinés avec des vaccins contenant un conservateur mercurique – le thimerosal – qui apparaît comme le responsable d’une augmentation dramatique des cas d’autisme et d’autres atteintes neurologiques chez l’enfant. Verstraeten déclara à Simpsonwood qu’il avait été stupéfait parce qu’il avait analysé en l’occurrence le nombre croissant d’études qui montrent la corrélation entre le thimerosal et des retards de parole, des déficits d’attention, d’hyperactivité et d’autisme. Depuis 1991, lorsque le CDC et la FDA ont recommandé l’usage du thimerosal pour trois vaccins additionnels utilisés chez des nourrissons extrêmement jeunes (dans un des cas, quelques heures après la naissanc), le nombre estimé de cas d’autisme a augmenté de 15 fois, de 1 cas pour 2500 à 1 cas pour 166 enfants. Même pour des scientifiques et des médecins habitués à des études sur la vie et la mort, les résultats font peur.......
Cette maladie était inconnue avant 1943 lorsqu’elle fut identifiée et diagnostiquée chez 11 enfants dans les mois qui ont suivi la vaccination avec du thimerosal en 1941....
En 2003, la revue Pediatrics publie une étude menée au Danemark qui a observé une diminution significative des taux d'autisme après élimination du pays de thimérosal, un composant à base de mercure, de vaccins. Mais grâce à l'influence corruptrice de la CDC, la version publiée de l'étude en pédiatrie en fait prétendu le contraire et allégué que retrait du thimérosal provoqué une hausse des taux d'autisme.
Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l'aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas) sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.
Des milliers de familles dont les enfants endommagés par les vaccins et sont devenus autistes ont commencé à poster des vidéos sur Autism Media YouTube channel sur une page portant ce titre, entendez le bien: nous brisons le silence sur la violence vaccinale (“Hear this well: Breaking the Silence on Vaccine Violence »)
La notice du vaccin Tripedia (diphtérie-tétanos-coqueluche), fabriqué par Sanofi Pasteur et commercialisé aux Etats-Unis reprend explicitement dans les effets secondaires l'autisme et la mort subite du nourrisson
En résumé, si notre président et notre ministère de la Santé veulent arrêter l'épidémie d'Alzheimer qui menace la population, au lieu de réclamer des résultats à une recherche impuissante, au grand dam des laboratoires, ils feraient mieux de supprimer les causes de cette maladie, surtout les produits chimiques et les publicités coûteuses et mensongères pour un vaccin non seulement inutile mais très dangereux.
Chaque année, des milliers et des milliers de parents amènent leurs bambins en parfaite santé chez le médecin pour le faire vacciner, et finissent plus tard par le regretter amèrement. Peu de temps après l’un de leurs trop nombreux vaccins, beaucoup d’enfants tombent malades, arrêtent de parler et ne se remettent jamais. Les parents de ces enfants restent complètement anéantis.
sur l'un de plus grands scandales de toute l'histoire de la médecine... à diffuser sans modération! Edité par l'Association ALIS (Association Liberté Info Santé)
Le 21 juin 2007, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations retenait notre attention sur le procès collectif vaccinal en instance devant la Cour fédérale des Etats-Unis. Depuis lors, la polémique ne s’est pas essoufflée. Bien au contraire, l’Etat fédéral dans un réquisitoire net et précis conclut à un lien de causalité avéré entre vaccinations infantiles et autisme chez une petite fille de 9 ans, Hannah Poling.
Des preuves de plus en plus nombreuses montrent qu’un pourcentage important des cas d’autisme ont une composante inflammatoire ou auto-immune. Les toute dernières données montrent que l’autisme est fortement lié au diabète de type 1, une autre maladie épidémique inflammatoire. Il a été montré que cette épidémie était causée par les vaccins.
Les inquiétudes concernant les vaccinations continuent d’augmenter de manière exponentielle à la lumière de toutes les informations et de la documentation qui a émergé au cours de ces quelques dernières années. En conséquence, les médias corporatifs ont voulu répondre aux médias alternatifs en déclarant que l’augmentation du nombre de personnes qui choisissent de ne pas vacciner ou de ne pas suivre le calendrier vaccinal est le résultat d’une tactique qui vise à semer la peur.La chose n’est pas trop surprenante étant donné le fait que les médias corporatifs sont détenus par les principaux fabricants de vaccins, et que les principaux fabricants de vaccins sont la propriété des médias d’entreprise. [1], [2], [3], [4]. Compte tenu de ce fait, il est facile d’imaginer la possibilité que ces institutions tentent désespérément de protéger la réputation de leurs produits.
Tous ces symptômes se sont manifestés quand Landen a eu 18 mois juste après qu’il ait reçu les vaccins ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), Varicelle, et le vaccin contre la grippe. Au total, il a reçu 32 vaccins avant que tombe le diagnostic d’autisme quand il a eu 3 ans. C’est alors que Nathalie a enfin compris que les vaccins étaient à l’origine de la mauvaise santé de ses enfants.
fait état despreuves neurologiques, hématologiques et immunologiques qui permettent aujourd'hui de conclureque TOUTES les vaccinations polluent le corps et peuvent provoquer des dégâts majeurs pour la santé,pouvant conduire à des maladies chroniques ou à destroubles comme l'autisme
Après avoir emmené son petit garçon de 18 mois en parfaite santé chez le pédiatre pour qu’il reçoive son vaccin ROR, la maman Gladys est rentrée chez elle avec un enfant dont la santé venait d’être endommagée par la vaccination. Le médecin lui a dit que les symptômes des dommages étaient « normaux », bien que son enfant devait plus tard recevoir le diagnostic d’autisme. La maman a pu aider son enfant avec une alimentation sans gluten et sans caséine, ainsi qu’en ayant recours à l’homéopathie. Veuillez s’il vous plaît avertir les parents que vous connaissez des dangers de la vaccination et contribuer à mettre fin aux vaccinations rendues obligatoires par le gouvernement.
Dans les années 1980, la plupart des estimations du taux d’autisme étaient qu’elle a atteint 1 sur 10.000 enfants. Aujourd’hui, l’estimation officielle du taux de l’autisme est de 1 sur 110, avec de nombreuses localités faisant état de taux plus proche de 1 sur 100. C’est une augmentation de 90 fois, soit 9,000%. Que se passe-t-il? Une enquête récente a montré que plus de 60% des parents d’enfants avec des vaccins de blâme de l’autisme. Des dizaines de milliers de rapports de cas apparaissent très similaires: un enfant se développe normalement reçoit plusieurs vaccins à partir de leur pédiatre, l’enfant semble changer peu de temps après la nomination (ou avoir une réaction plus grave immédiat pour les vaccins), et plus tard, l’enfant est diagnostiqué avec l’autisme.
au lieu de décider d’alerter immédiatement le public et de débarrasser les vaccins du mercure, les intervenants passèrent le plus clair de ces deux jours à discuter sur les moyens de dissimuler les données alarmantes.
Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas) sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC
Si vous écoutez le porte-parole de l’industrie des vaccins bien rémunéré, vous entendrez que l’affaire est classée sur le lien entre les vaccins et l’autisme et que le consensus scientifique prend en charge aucune association. On rappelle étrangement les jours où les compagnies de tabac produit un consensus scientifique ne montrant aucun lien entre le tabagisme et le cancer du poumon.
« Il y a 40 ans quand j’ai débuté dans ma pratique médicale, on estimait qu’un enfant sur 10.000 était atteint d’autisme. Aujourd’hui, c’est un enfant sur 100 (En 2013, selon les derniers chiffres, il s’agirait d’un enfant sur 50, NDLR)). Que s’est-il passé pour qu’il y ait pareille différence ? Tout simplement le nombre démesuré de vaccins qui sont administrés aux enfants aujourd’hui. Mes collègues médecins et moi-même avons ensemble 35.000 patients qui n’ont jamais été vaccinés. Savez-vous combien de cas d’autisme nous avons vus ? ZERO, ZERO. Depuis 40 ans, je répète le même mantra : « PAS DE VACCINS, PAS D’AUTISME. » -- Dr Mayer Eisenstein, M.D.
Autisme lié à la Vaccination ! Il n'y a plus de doute à avoir.
Silence on vaccine
Dans le cas de cette professionnelle, c'est 100% des cas d'autisme qui sont dus aux vaccins
Dossier autisme et vaccination
CDC liens entre l'autisme et les Vaccins : manipulation des données
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
Un médecin de big pharma, a révélé, sous serment, que les vaccins provoquaient l'autisme ( vers la minute 52,59
Serge Rader à propos des vaccins : mercure, aluminium, autisme...
Article de Robert F. KENNEDY révélant enfin l’un des plus grands scandales de la médecine ! [1] [2] [3]
En juin 2000, un groupe de scientifiques officiels de haut niveau se sont réunis au Centre de Conférence de Simpsonwood à Norcross (Georgie, USA), convoqués par le Center for Disease Control and Prevention (CDC) (Centre de Contrôle des Maladies et Prévention). Cette rencontre a eu lieu dans le plus grand secret. Il n’y a pas eu d’annonce publique, les 52 personnes ont été conviées sur invitations privées. Il y avait des officiels de haut niveau du CDC, de la FDA (Food and Drug Administration), des spécialistes de la vaccination de l’OMS de Genève et des représentants des plus grandes firmes de fabrication de vaccins incluant Glaxo SmithKline, Merck, Wyeth et Aventis Pasteur. Tous les documents ont été déclarés confidentiels, aucune photocopie n’a pu être faite et aucun papier n’a pu être pris lorsqu’ils sont partis. La discussion principale a été centrée sur l’étude de Tom Verstraeten, un épidémiologiste du CDC qui a analysé les bases médicales de données de l’agence de 100 000 enfants et nourrissons, vaccinés avec des vaccins contenant un conservateur mercurique – le thimerosal – qui apparaît comme le responsable d’une augmentation dramatique des cas d’autisme et d’autres atteintes neurologiques chez l’enfant. Verstraeten déclara à Simpsonwood qu’il avait été stupéfait parce qu’il avait analysé en l’occurrence le nombre croissant d’études qui montrent la corrélation entre le thimerosal et des retards de parole, des déficits d’attention, d’hyperactivité et d’autisme. Depuis 1991, lorsque le CDC et la FDA ont recommandé l’usage du thimerosal pour trois vaccins additionnels utilisés chez des nourrissons extrêmement jeunes (dans un des cas, quelques heures après la naissanc), le nombre estimé de cas d’autisme a augmenté de 15 fois, de 1 cas pour 2500 à 1 cas pour 166 enfants. Même pour des scientifiques et des médecins habitués à des études sur la vie et la mort, les résultats font peur.
Mais, au lieu de prendre des mesures immédiates pour alerter la population et interdire le thimerosal, les participants de la rencontre de Simpsonwood ont consacré les 2 prochains jours à discuter comment cacher les dommages, se sentant dans une mauvaise position pour se défendre contre d’éventuelles suites judiciaires. Le CDC a payé l’Institut de Médecine pour faire une nouvelle étude afin de « blanchir » le risque du thimerosal et éliminer le lien avec l’autisme. En attendant, les résultats de Verstraeten ont été empêchés d’être publié et il a été dit aux scientifiques que ses données originales avaient été perdues et ne pouvaient être dupliquées. Quand Vertraeten a finalement publié son étude en 2003, il avait commencé à travailler pour Glaxo SmithKline et avait revu ses données pour enterrer le lien entre le thimerosal et l’autisme. Les fabricants de vaccins ont commencé à éliminer le thimerosal des vaccins donnés aux enfants américains, mais ont continué à vendre les stocks de vaccins avec support de mercure jusqu’à l’année dernière. Le CDC et la FDA leur ont même tendu la main, en leur achetant les vaccins contenant du thimerosal pour l’exportation dans les pays en voie de développement, et autorisant les compagnies pharmaceutiques à utiliser le conservateur dans certains vaccins américains –en pédiatrie comme pour la grippe et le rappel du tétanos dès l’âge de 11 ans. Ces mêmes compagnies ont obtenu de l’aide par des législateurs à Washington.
Le leader de la majorité au Sénat, Bill Frist, qui a reçu $ 873 000.– de contribution de l’industrie pharmaceutique, travaille pour « immuniser » les fabricants de vaccins dans 4200 cas de plaintes de parents d’enfants contaminés.
Même dans des milieux conservateurs, on s’inquiète des efforts gouvernementaux pour couvrir le danger du thimerosal. Il s’avère que la FDA et d’autres offices de santé publique n’agissent pas mais, au contraire, font du protectionnisme au profit de l’industrie pharmaceutique. Plus de 500 000 enfants souffrent d’autisme et les pédiatres diagnostiquent 40 000 nouveaux cas chaque année. Cette maladie était inconnue avant 1943 lorsqu’elle fut identifiée et diagnostiquée chez 11 enfants les mois qui ont suivi la vaccination avec du thimerosal en 1941.
Il semble que les Américains soient exposés à des doses cumulatives de mercure plus importantes qu’autrefois, entre les poissons contaminés et les amalgames dentaires. Il est possible que les vaccins ne font qu’éclipser les autres sources.
Mais il est grave d’observer comment certains chercheurs éminents continent à ignorer et couvrent même l’évidence à propos du thimerosal utilisé comme conservateur pour empêcher la croissance des bactéries et des champignons dans les vaccins. D’innombrables études montrent que le mercure s’accumule dans le cerveau des primates et d’autres animaux après injection de la vaccine et que le cerveau en développement des nourrissons est particulièrement susceptible. En 1977, une étude russe montrait que des adultes exposés à des concentrations eaucoup plus basses d’éthylmercure que les doses des enfants américains, souffraient de dommages cérébraux des années après. La Russie a banni le thimerosal depuis 20 ans suivi par le Danemark, l’Autriche, le Japon, la Grande-Bretagne et tous les Pays Scandinaves.
Le Prof. Boyd Haley, Chef du Département de Chimie de l’Université du Kentucky l’affirme : « Vous ne pouvez pas trouver une seule étude qui démontre que le thimerosal est sans danger. C’est vraiment une substance qui est fondamentalement toxique. Si vous injectez du thimerosal dans un animal, son cerveau va tomber malade. Si vous appliquez du mercure à des tissus vivants, les cellules de tissu vont mourir. Si vous le mettez sur une plaque de culture en laboratoire, les cellules meurent. Sachant ces choses, il serait choquant qu’une personne consciente puisse injecter du mercure dans un enfant sans causer de dommages. »
Des documents internes révèlent que le laboratoire Eli Lilly, qui a développé en premier le thimerosal, savait depuis le départ que le produit pouvait causer des dommages et même la mort chez les animaux et les humains. En 1930, cette compagnie a testé le thimerosal en l’administrant chez 22 patients atteints de méningite terminale ; tous sont décédés en quelques semaines. Constatations que le laboratoire Eli Lilly ne citent pas, en déclarant le thimerosal sûr. En 1935, des chercheurs d’une autre firme fabriquant des vaccins Pittman-Moore, avertissent le lab. Lilly des problèmes liés au thimerosal, ces derniers répondent que cela ne correspond pas aux leurs. La moitié des chiens de Pittman vaccinés deviennent malades, conduisant les chercheurs à déclarer le conservateur comme impropre à l’usage des chiens. Pendant la seconde guerre mondiale, les soldats furent vaccinés avec des vaccins fabriqués par Lilly. En 1967, une étude publiée dans Applied Microbiology montre que le thimerosal tue des souris lorsqu’il est ajouté à la vaccine. Quatre ans plus tard, une propre étude de Lilly montre que le thimerosal est un toxique pour les cellules, dans des concentrations de une part par million (cent fois moins que dans les vaccines courantes). En 1977, dans un hôpital de Toronto, dix bébés meurent lorsqu’un antiseptique au dérivé de mercure est utilisé pour tamponner leur cordon ombilical. En 1982, la FDA propose de bannir les produits contenant du thimerosal vendus sans ordonnance mais, tragiquement, le CDC recommande que les nourrissons soient vaccinés avec une série de vaccins qui justement contiennent ce mercure. Des nouveaux-nés auraient été immunisés contre l’hépatite B 24 heures après leur naissance et des nourrissons de 2 mois auraient été immunisés contre l’haemophilus influenza B et diphtérie-tétanos-pertussis.
L’industrie pharmaceutique savait que la vaccine créait un danger. La même année durant laquelle le CDC approuvait les nouveaux vaccins, le Dr Maurice Hilleman, l’un des pères du programme de vaccination chez Merck, avertissait la compagnie que des enfants âgés de 6 mois qui recevraient les vaccins souffriraient d’une dose de mercure dangereuse. Il recommandait de distribuer les vaccins sans le conservateur contesté. Pour Merck et les autres firmes, comme toujours, l’obstacle est financier. Le thimerosal rend possible le conditionnement de fioles de vaccines en doses multiples, qui requièrent une protection plus importante car les fioles peuvent être contaminées plus facilement par les entrées multiples des aiguilles à injection. Les grosses fioles coûtent la moitié à la production que des petites fioles à dose unique. Le résultat est que le prix est plus bas pour des agences internationales qui les distribuent dans les régions pauvres à risque d’épidémie. Face à ces considérations de coûts, Merck ignora les recommandations d’Hilleman et les officiels gouvernementaux continent à promouvoir de plus en plus les vaccins contenant du thimerosal chez les enfants. Avant 1989, les enfants américains recevaient en période pré-scolaire « seulement » 3 vaccins (polio, diphtérie tétanos-pertussis et rougeole-oreillon-rubéole). Une décade plus tard, grâce aux recommandations fédérales, les enfants ont reçu un total de 22 immunisations avant de commencer la scolarité. Alors que le nombre de vaccinations augmentait, le taux d’autisme chez les enfants explosait. Durant les années 1990, 40 millions d’enfants ont reçu des vaccins contenant du thimerosal, ce qui représente des taux de mercure sans précédent, pendant la période critique du développement du cerveau. Le Dr Mark Geier, Président du Genetic Center of America et son fils David ont bataillé une année pour obtenir les enregistrements médicaux du CDC. Depuis août 2002, lorsque des membres du Congrès pressaient le CDC de changer les bases de données, les Geier ont publié 6 études qui démontraient une importante corrélation entre le thimerosal et des atteintes neurologiques chez les enfants. Une étude compare les doses cumulatives reçues par des enfants nés entre 1981 et 1985 avec ceux nés entre 1990 et 1996 et trouve une relation très significative entre l’autisme et les vaccins. Une autre étude montre que sur les enfants qui ont reçu une dose plus élevée de thimerosal, on a pu diagnostiquer 3 fois plus de cas d’autisme et 3 fois plus de cas de retard de la parole et de retards mentaux. Une autre étude prête à être publiée montre le déclin des cas d’autisme suivant l’élimination du thimerosal de la plupart des vaccins. Dan Olmsted du UPI a fait une étude intéressante en cherchant des enfants qui n’ont pas été exposés au mercure par les vaccins. Cherchant des enfants n’ayant pas été exposé au mercure dans les vaccins – le genre de population que les scientifiques typiquement utilisent comme contrôle dans les expérimentations - Olmsted est donc allé à la recherche des Amish du Comté du Lancaster, Pennsylvanie, qui refusent d’immuniser leurs enfants. Etant donné le taux national d’autisme, Olmsted a calculé qu’il aurait dû trouver 130 autistes. Il n’en a trouvé que 4. L’un avait été exposé à de hauts taux de mercure émanant d’une usine de produits d’énergie. Les trois autres, incluant un enfant adopté provenant de l’extérieur de la communauté Amish, avaient reçu des vaccins. Ken Veenstra, Sénateur républicain de l’Iowa déclara : « Le fait que le pourcentage de cas d’autisme de l’Iowa a augmenté de 700% au début des années 1990, juste après que plus en plus de vaccins aient été ajoutés au programme de vaccination, est une évidence en elle-même. L’année dernière, l’Iowa est devenu le premier état à bannir le mercure des vaccins, suivi par la Californie. Des décisions similaires sont en considération dans 32 autres états. Mais, au lieu d’en tirer les conséquences, la FDA continue de permettre aux fabricants d’inclure du thimerosal dans des médicaments délivrés sans ordonnance, comme des stéroïdes et du collagène injectable. Le gouvernement continue d’envoyer des vaccins avec du thimerosal dans les pays en voie de développement. Certains voient soudain leurs taux d’autisme exploser, comme en Chine où la maladie était quasiment inconnue ; de nouveaux rapports indiquent qu’il y a maintenant plus de 1,8 millions d’autistes. Aussi d’autres pays connaissent une montée en flèche comme l’Inde, l’Argentine, le Nicaragua et d’autres pays en développement qui utilisent maintenant des vaccins contenant du thimerosal.
L’OMS continue d’affirmer que le thimerosal est sûr, mais promet d’envisager la possibilité du lien avec des atteintes neurologiques.
Je consacre du temps à étudier les publications car je crois que c’est une crise morale. Si, comme l’évidence le suggère, nos autorités médicales publiques ont, tout en le sachant, empoisonné une génération entière d’enfants américains en donnant l’autorisation à l’industrie pharmaceutique, leurs actions constitueraient un des plus grands scandales des annales de la médecine américaine. « Le CDC est coupable d’incompétence et de négligence grossière », déclare Mark Blaxill, Vice Président du Safe Mind, une organisation sans but lucratif concernée par le rôle du mercure dans la médecine. « Le dommage causé par les vaccins est massif. C’est plus important que l’amiante, que le tabac, que tout ce que vous n’avez jamais vu ».
Il est difficile de calculer les dégâts que notre pays – et tous les efforts internationaux faits pour éradiquer les épidémies – subiraient, si les nations du Tiers-Monde devenaient convaincues que l’Amérique, proclamée comme la nation la plus impliquée dans l’aide internationale, empoisonne ses enfants. Il n’est pas difficile de prédire comment ce scénario serait interprété par ses ennemis à l’étranger. Les scientifiques et les chercheurs, beaucoup d’entre eux sincères même idéalistes, qui ont participé aux efforts pour cacher à la science les revendications concernant le thimerosal, déclarent qu’ils sont en train de progresser dans le but élevé de protéger les enfants des pays en développement contre les maladies pandémiques. Ils sont très mal avisés. L’erreur d’essayer de n’être pas responsable à propos du thimerosal reviendra hanter horriblement notre pays et les populations les plus pauvres du monde.
Karen Wetterhahn était un professeur de chimie internationalement respecté, un chercheur expert dans le domaine des effets des métaux lourds sur les systèmes vivants, en particulier dans leur rôle dans le cancer. Par une ironie exquise, elle a été victime d'un poison de métal lourd.
« Il est tout à fait inacceptable à mes yeux de continuer à insérer une substance aussi potentiellement toxique dans la bouche des citoyens alors qu’il existe des alternatives plus sûres »
Les plombages seraient dangereux pour la santé, et plus particulièrement le mercure utilisé pour les plombages. Un scandale de plus avec à la clé, des « ententes », du lobbyisme, des magouilles, etc….
Le MERCURE (Hg) est un métal trace dont la toxicité est connue et redoutable : c’est un neurotoxique, un reprotoxique, un immunotoxique, un génotoxique
Dr Rashid Buttar a affirmé devant le Congrès que " l'association du mercure à des maladies chroniques est bien documentée dans la littérature scientifique didactique. La recherche de l'association entre le mercure et les maladies cardiovasculaires révèle 358 articles scientifiques illustrant la relation , entre le mercure et le cancer , nous trouvons 643 articles scientifiques. L'association entre le mercure et les maladies neurodégénératives est la plus importante , avec 1445 références . " La position officielle est actuellement qu'il existe une« certaine » preuve que le méthylmercure peut causer le cancer chez les humains. Le Centre international de Recherche sur le Cancer ( CIRC) a classé le méthylmercure comme «cancérogène possible pour l'homme
En 2005, Robert F. Kennedy, Jr. a publié un long examen de l'histoire d'Eli de Lilly composé de mercure mortel, thimérosal dans les vaccins et son histoire des données supprimées sur les dangers pour ceux qui la reçoivent depuis des décennies. La pièce décrit le résultat d'un secret, très isolée réunion-2000 Simpsonwood Conférence impliquant un groupe de scientifiques du gouvernement et responsables de la santé organisée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
Comment le mercure détruit le cerveau
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L'ALU TOTAL ! Dangers des Adjuvants Aluminiques des vaccins L'aluminium dans les vaccins
Aluminium, un poison légal dans nos vaccins
"Aluminium mortifère" Toute la vérité sur les vaccins
Aluminium neuro-toxique et… cancérigène Politiques, médias et associations sont focalisés depuis plusieurs mois sur l’aluminium vaccinal et notamment la myofasciite à macrophages qui peut se manifester plus de dix ans après la dernière vaccination. Cet adjuvant présent dans la majorité des vaccins n’est malheureusement pas que neurotoxique. Tumeurs et cancers sont également régulièrement observées chez l’animal – parfois même plusieurs années après la vaccination – mais aussi chez l’homme.
Les sels d’aluminium sont neurotoxiques (InVS, 2003 – Académie de Médecine, 2012). – Les sels d’aluminium ont un possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien (Marisol Touraine, 2012). – Les sels d’aluminium utilisés dans les vaccins migrent vers le cerveau (travaux de l’INSERM – Données confirmées par l’Académie de Médecine, 2012). – Les publications scientifiques de qualité sont de plus en plus nombreuses à alerter sur les effets secondaires graves des sels d’aluminium vaccinaux (voir bibliographie). Certains en tirent clairement les conséquences.. – Le Conseil d’Etat. Il reconnait maintenant le lien entre la Myofasciite à Macrophages et les vaccins utilisant des sels d’aluminium (arrêt du 21.11.2012 -…
Autisme et Vaccination Aluminium et AlzheimerEn résumé, si notre président et notre ministère de la Santé veulent arrêter l’épidémie d’Alzheimer qui menace la population, au lieu de réclamer des résultats à une recherche impuissante, au grand dam des laboratoires, ils feraient mieux de supprimer les causes de cette maladie, surtout les produits chimiques et les publicités coûteuses et mensongères pour un vaccin non seulement inutile mais très dangereux.
Vaccin : Aluminium neuro-toxique et... cancérigène Cet adjuvant présent dans la majorité des vaccins n’est malheureusement pas que neurotoxique. Tumeurs et cancers sont également régulièrement observées chez l’animal - parfois même plusieurs années après la vaccination - mais aussi chez l’homme.INGESTION
médicaments, pesticides, insecticides, psychotropes, armes chimiques, poisons, colorants, vaccins, toxiques…souvent dérivés des mêmes molécules ! :: »nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. »
En 1995, les prémisses de ce qui est aujourd'hui largement qualifié d'épidémie d'autisme, se sont clairement fait sentir. Il est par ailleurs devenu de plus en plus évident qu'un grand nombre d'enfants progressaient de manière remarquable grâce à des traitements non-médicamenteux, des traitements relevant généralement de ce qu'il est convenu d'appeler les « médecines douces », et que je préfèrerais pour ma part appeler « médecines intelligentes »
"L'autisme est un terme psychiatrique," at-il dit. «Je considère 'encéphalopathie toxique' comme une meilleure description, car il implique qu'il y a quelque chose que nous pouvons faire si nous détoxifier les individus."
les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l’autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu’elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l’alimentation, l’air, l’eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu’au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons).
est l‘action d’un poison (ou substance neurotoxique) sur le système nerveux. Il peut s’agir d’éléments chimiques comme les métaux lourds, de composés chimiques ou de substances biologiques comme les neurotoxines. Une substance neurotoxique agit habituellement en perturbant ou en paralysant l’influx nerveux, en agissant notamment sur les émetteurs ou les récepteurs synaptiques.
Qui sont les responsable ? D’une part les industries chmiques et pharmaceutiques. D’autre part l’Etat, qui ne régule rien. Ajoutons-y les médias, dont l’écrasante majorité ne fait pas son boulot. Industries et Etat se renvoyant la responsabilité, comme d’habitude. Il faut ajouter à cette petite description la caractéristique majeure de ce problème, qui est l’appât du gain. Tous ces malades vont constituer un marché gigantesque. Si l’on prévient l’apparition des maladies, on prive de bénéfices futurs les vendeurs de produits (toxiques qui créent les problèmes) ET les labos pharmaceutiques qui prétendent les soigner.
L’exposition des femmes enceintes aux pesticides accroît de le risque d’autisme chez l’enfant, révèle cette étude du Mind Institute de l’Université de Californie, qui confirme ainsi un lien direct entre l’autisme et l’exposition prénatale à certaines substances chimiques. Organophosphates, pyréthroïdes et carbamates sont ici clairement mis en cause
C’est une maladie extrêmement hétérogène qui peut être générée par plusieurs choses. La génétique joue pour 10 à 15 %, pour le reste ce sont des facteurs environnementaux. Le contact de la mère avec des produits tels que le mercure, les pesticides, les métaux lourds, mais aussi la radiation, une grippe sévère pendant la grossesse, un père ou une mère âgés, il y a un tas d’éléments qui peuvent rentrer en ligne de compte. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas le profil psychologique de la mère qui est en cause, mais des facteurs biologiques.
a-t-il dit notant le caractère "multifactoriel" de ce syndrome des troubles de la communication.C'est "une véritable épidémie que les facteurs de prédisposition génétique ne peuvent à eux seuls expliquer". Pour lui, il est donc "logique de s'intéresser à des facteurs environnementaux nouveaux". En particulier, aux pesticides, a-t-il poursuivi en évoquant aussi une exposition accrue aux "radiations électromagnétiques non ionisantes".
Il existe aujourd’hui plus de 80 000 produits chimiques en production, et seule une toute petite fraction a été testée pour vérifier de possibles effets neurotoxiques. À ce jour, on reconnait qu’environ 500 produits sont toxiques pour le système nerveux. Parmi ceux-ci, mentionnons certains métaux (plomb, mercure), des pesticides (organophosphorés, organochlorés), des solvants (trichloréthylène), et des molécules organiques complexes (BPC).
Selon le professeur Richard Deth, « Perpétuer le mythe de l’autisme comme étant un trouble génétique est un mauvais service rendu à tous ceux qui pourraient bénéficier d’un traitement. Perpétuer ce mythe contribue également à détourner l’attention des causes qui ne sont pas génétiques. »
Les effets toxiques des produits chimiques, dont des pesticides et des solvants, sur le développement du cerveau du foetus et de petit enfant sont en général négligés alors qu'ils pourraient avoir induit des troubles neurologiques chez des millions d'enfants dans le monde, selon des spécialistes de santé publique. La toxicité de ces produits sur le cerveau du foetus intervient à des doses bien inférieures que pour l'adulte, notent-ils dans un article mis en ligne mercredi par la revue médicale britannique The Lancet.
Les encéphalopathies médicamenteuses sont une préoccupation fréquente dans les services de médecine, et ce d’autant plus que le patient est traité par de nombreux médicaments, présente une pathologie cérébrale sous-jacente ou une autre cause d’encéphalopathie associée. Les molécules les plus fréquemment en cause sont les anti-infectieux, les morphiniques, les anti-épileptiques et les molécules de chimiothérapie. La présentation clinique est variable pouvant aller de troubles du comportement au coma. La présence de myoclonies, notamment sous forme d’un asterixis (myoclonies négatives distales) est très évocatrice dans le contexte.
"les 5 principaux facteurs déclenchants de l'autisme"
Demain tous crétins sauvegarde
https://crowdbunker.com/v/Y7J3iSJXmg
C'est "une véritable épidémie que les facteurs de prédisposition génétique ne peuvent à eux seuls expliquer". Pour lui, il est donc "logique de s'intéresser à des facteurs environnementaux nouveaux". En particulier, aux pesticides, a-t-il poursuivi en évoquant aussi une exposition accrue aux "radiations électromagnétiques non ionisantes".
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Les deux troubles partagent de nombreux symptômes communs. C'est pourquoi il n'est pas inhabituel pour une condition d'être confondu avec l'autre dans les premiers stades.
Ils sont zombifiés par anti psychotiques médicaments, leurs humeurs améliorés avec des antidépresseurs pour les rendre plus faciles à gérer et à fournir aux bénéfices pharma.
74 % des autistes se sont maintenant sur ce drogues Voir le post sur lescandale Risperidol.
Son approche se fonde sur son expérience vécue, ses travaux de recherche neuroscientifique et la formation de parents depuis plus de 15 ans.
S’inscrivant dans un arrière-plan de convictions fortes, ses ateliers et programmes de travail proposés aux parents se veulent concrets et spécifiques à l’enfant et à son stade d’évolution
Elle a publié un livre chez Odile Jacob, « Vaincre l’autisme ».
Voici un résumé de la situation vécue par la majorité des parents : Le développement de leur enfant était normal pendant la première année ou les deux premières années de sa vie, et soudainement, du jour au lendemain, l’enfant a perdu ses facultés de langage, de jeux et de communication. Il ne fait plus rien par lui même et ne reconnaît plus ses parents.
Mais pourquoi son fils est-il tombé malade ? Senta Depuydt cherche, se documente, lit, enquête. De cette somme de données amassées, elle met en avant une possible intoxication au mercure, qui aurait mis le feu aux poudres d’un terrain immunitaire déjà probablement fragilisé chez son fils. Alors qu’elle l’allaite, elle se fait en effet poser six amalgames dentaires en ‘plomb’, en fait composés de mercure, un métal puissamment neurotoxique… « Avant, dans l’autisme, on incriminait les mères. Maintenant, c’est la génétique. Mais au moins faudrait-il parler d’épigénétique, dans ce cas », s’indigne-t-elle
non prouvés mais probables agissant sans doute comme du « poison » sur le cerveau chez ces enfants qui ont sans doute une fragilité génétique, d’où le dysfonctionnement cérébral, par exemple :
– les antibiotiques donnés avant 8 mois – les vaccins avant 1 an (ROR notamment) porteurs de métaux lourds qui passent de l’intestin perméable au cerveau par le sang. – l’intolérance au gluten et à la caséine, (la plupart des autistes en souffriraient) aggrave les difficultés de concentration et d’éveil.